jeudi 16 août 2012

Exposition : COLLECTIONS / CONFESSIONS

Du 24 juin au 23 septembre 2012


INSTITUT 

D'ART CONTEMPORAIN

La collection en Rhône-Alpes


ORLA BARRY, KATE BLACKER, CHRISTIAN BOLTANSKI, JEF GEYS, ON KAWARA, JOE SCANLAN, GILLIAN WEARING



En résonance avec le festival de la correspondance 2012 Les correspondances des philosophes.




"L’exposition réunit des œuvres fondées sur des ressorts autobiographiques, ou, tout au moins, tissées autour d’un intérêt primordial pour la dimension quotidienne et intime de la vie.
Dans ces démarches en partie introspectives, les artistes attachent une grande importance à l’archive (Geys) et mettent en récit l’inventaire du quotidien (Barry). Il peut s’agir aussi d’un paysage de montagne à atteindre, en lien avec une histoire personnelle (Blacker). Les artistes peuvent également se livrer « en creux », à travers des portraits à caractère sociologique ou anthropologique (Boltanski), ou des hommages rendus (Scanlan). La peinture de la société évolue parfois vers un portrait radical de la condition humaine (Wearing), vers un geste artistique universel (On Kawara).
Relevant souvent d’un climat encyclopédique, les œuvres consignent le présent et son ordinaire, en même temps qu’elles révèlent des silences métaphysiques. Entre collection, confession et confidence…"



Vernissage le samedi 23 juin 2012 à 11h.




Une exposition présentée par l'Institut d'art contemporain Villeurbanne / Rhône-Alpes, en partenariat avec la ville de Grignan.

INSTITUT 
D'ART CONTEMPORAIN
Villeurbanne / Rhône-Alpes
www.i-ac.eu


Ville de Grignan
www.ville-grignan.fr

Exposition : "DE / CAEDERE", Thomas Plasschaert


Du 7 avril au 10 juin 2012




Thomas Plasschaert



Thomas Plasschaert (1980), est un artiste français diplômé de l’Ecole Nationale supérieure des Beaux Arts de Paris, dans l’atelier de Giuseppe Penone.
Après un séjour de deux années en Hollande de 2010 à 2011, au cours duquel il participe à de nombreuses expositions en France (Paris, Saint-Pierreville), en Allemagne (Cologne) et aux Pays-Bas (Eindhoven, Amsterdam, Zeewolde, Arnhem), il présente à Grignan dans l’Espace François-Auguste Ducros en 2012, à l’invitation de l’association « Les enfants du Facteur », l’exposition « DE / CAEDERE » qui regroupe plus de 120 œuvres.
http://thomas-plasschaert.blogspot.fr/




"DE / CAEDERE"



Thomas Plasschaert a pris Pan, le dieu grec, créature mi homme mi bouc, comme figure centrale de son travail.

Pan est à la base étymologique des mots : panique, panorama, panthéon... Il est le corps dissolu dans le paysage, il est aussi le cosmos dans le paganisme. Pan est le destructeur du lien social, il est dangereux pour la civilisation.
C’est quand le lien se défait dans une société que se révèlent les caractères, que s’affiche le comportement dans l’altérité. Une altérité qui va se noyer dans la négativité (comme par exemple a pu l’être la Shoah) jusqu’à la reconnaissance des victimes.
Pan est un satyre, il personnifie et condense le rapport ambivalent et ambigu qu'une société a avec l'Autre, l'étranger, le différent.
Ce satyre là est donc la proie des fantasmes, des phobies, ou de la haine, dans l'imaginaire d'un groupe. Il lui sert de cohésion lorsqu'il le rejette d'une manière ou d'une autre. Il subit ou provoque la violence.
Ce type d'être est à la fois animal et homme, certainement parce qu'il est la manifestation de l'irrationalité et de l'irraisonné d'une société...
Il se déplace dans la nature, mais il y rencontre une Arcadie où la mort est tout aussi ravageuse et "invue"... que la beauté, le luxe, le calme et la volupté y sont manifestes...

Ce travail artistique, de facture apparemment traditionnelle, pose des problèmes pertinents et tout à fait contemporains... L’artiste au travail se pose dans un entre-deux, un infra-mince, que la subjectivité va tenter de formaliser, à travers des « prises » de contact ou des écarts.
 Mars 2012. Les enfants du Facteur


Vernissage le samedi 14 avril 2012 à 11h.

 




Dimanche 29 avril 2012 à 16h.

Rencontre avec l'artiste (tout public).

Dimanche 10 juin 2012 à 18h.

Pour la clôture de l’exposition, l’artiste se propose généreusement de présenter les liens de son travail avec la philosophie de René Girard, penseur reconnu dans le monde entier pour ses investigations et les rapports qu’il a instaurés entre la violence et le désir, l’emprise du mimétisme et la position du bouc émissaire dans nos dynamiques sociales. 

Accueil de groupes en présence de l'artiste

Vendredi 27 avril 2012

Lycée Vinci de Pierrelatte et Lycée Argouges de Grenoble (Missions générales d'insertion)

Vendredi 1er juin 2012

Accueil des classes de CM1 et CM2 de l’École élémentaire de Grignan. 

Vendredi 8 juin 2012

Adhérents de l'Université Populaire Tricastine de Saint-Paul-Trois-Châteaux



 

Visites guidées


Mercredi 2 mai 2012
Enfants des ateliers de dessin de la MJC de Grignan


Samedi 2 juin 2012
Résidents participant aux Ateliers Créatifs de l'APEI du foyer de Kerchène à Lapalud.




Une exposition présentée par l'association Les enfants du Facteur, avec le soutien de la ville de Grignan.


Les enfants du Facteur 
les-enfants-du-facteur@orange.fr
http://espaceducrosorangefr.centerblog.net/

Exposition : La Terre et la Pierre, artistes amateurs de Grignan


Du 26 novembre au 31 décembre 2011





Grignan s'expose.

Les peintres et plasticiens amateurs, résidant ou travaillant à Grignan, sont invités à exposer sur le thème de la terre et de la pierre.

 

 
Beugnon Delphine, Bichon Annie, Bonaves Bernadette, Capdepont Odile, Chabouis Catherine, Couren Jean-Pierre, Crespo Patrick, Dantin Françoise, Delhove Dominique, Desplans Guy, Durieux Bruno, Gambini Rose, Luchet Geneviève, Franck Marijke, Mignon Benjamin, Reynier Michèle, Schiavare Delphine, Termier Françoise, Thomas Patrice, Vicente Lili, Vollant Pascale.



  

 Vernissage le samedi 3 décembre 2011 à 11h. 




Une exposition organisée par la Commission culture de la ville de Grignan.



Ville de Grignan
www.ville-grignan.fr

Exposition : Entrepont, Brigitte Laurendeau, accompagnée de Caroline Dubois

Du 17 septembre au 13 novembre 2011




"L’artiste Brigitte Laurendeau  est née à Marseille, a vécu à Paris, puis s’est installée depuis quelques années à Taulignan. Elle s’est mise tardivement à l’art. Elle aime la littérature et s’amuse à faire rebondir les mots et les images, au point d’inviter dans son exposition une amie poétesse Caroline Dubois, par ailleurs Professeur d’Histoire de l’Art, et qui a publié plusieurs livres aux éditions POL. Cette dernière fera une lecture, le jour du vernissage, à côté  de sa longue broderie exécutée les jours d’insomnie, lorsque l’angoisse du monde s’impose trop. 
Une nouvelle de Kafka «Communication pour une Académie»  est en partie à l’origine de l’exposition. Dans ce texte, le narrateur est un singe, enfermé dans une cage. Le singe est traditionnellement l’animal qui symbolise l’artiste car il copie et singe la réalité. A l’Espace Ducros, la cage qui  accueille le visiteur est vide, le singe est remplacé par  un miroir positionné dans son fond.
D’autres présences animales, surtout des mues d’insectes (araignées, cigales) ponctuent l’espace. [...]" 
Françoise Vergier






« En terme de marine, l'entrepont désigne cet espace entre les deux ponts  d’un bateau, où sont transportés tout aussi bien marchandises, animaux, hommes…
Espace transitoire, entre deux lieux, deux mondes, sur lequel flottent comme en suspension les  rêves, les espoirs, mais aussi l’éternelle incertitude des hommes en errance.
C’est cet espace, un instant entrevu, que j’ai tenté d’explorer.
Pour faire “pont-entre-deux”, Caroline Dubois, écrivain, participera à l'exposition et fera une lecture. »
Brigitte Laurendeau


Brigitte Laurendeau, née en 1961, autodidacte, débute une activité artistique en 2000. 
Vit et travaille à Taulignan dans la Drôme.


De façon générale, Brigitte Laurendeau investit des espaces constitués d’objets de fabrications diverses qui déplacés de leur contexte  tentent de faire émerger des univers entre le familier et l’étranger.

Elle utilise une figure féminine (sa propre personne),  réalise des performances  dont on peut voir la trace sous forme de photos et de vidéos. Ce personnage utilise le déplacement pour prendre du recul, s'élever du sol, modifier son centre de gravité, son point de vue sur le monde.
Les questions d'autonomie, de résistance, de soumission ou d'insoumission aux règles sont toujours à reposer, de même que celles de l'imaginaire.


Brigitte Laurendeau est aussi éditrice, elle a crée en janvier 2005 BAND I/T ( BANDE IMAGE/ TEXTE )
Édition dédiée aux rapports entre texte et image. UN des objectifs de cette collection est de faire appel à des auteurs venus d’horizons différents : arts plastiques, littérature, de les déplacer légèrement de leur champ artistique habituel, de diffuser une œuvre sous la forme d’un livre dont l’acquéreur pourra choisir de le lire comme un livre, de le déplier ou de l’accrocher au mur.
 www.bandit-editions.com 


Vernissage le vendredi 16 septembre 2011 à 18h30.


Une exposition proposée par l'association Les enfants du facteur, en résonance avec la Biennale de Lyon 2011, avec le soutien de la ville de Grignan.

Les enfants du Facteur
les-enfants-du-facteur@orange.fr
http://espaceducrosorangefr.centerblog.net/

Exposition : Atmosphères

Du 26 juin au 28 août 2011


Atmosphères

Parcours été 2011 


INSTITUT

D'ART CONTEMPORAIN

La collection en Rhône-Alpes


Delphine Coindet

Philippe Decrauzat

Ann Veronica Janssens


Sous le titre Atmosphères, en écho au projet Dans la poussière du soleil d’Ann Veronica Janssens au Château des Adhémar-centre d’art contemporain, Montélimar, l’Institut d’art contemporain propose un parcours à travers quatre sites dans le département de la Drôme.

À partir d’œuvres de la collection de l’Institut, Atmosphères se présente comme un prolongement du projet d’Ann Veronica Janssens initié au Château des Adhémar ; sur un mode perceptuel, c’est la relation entre espace et corps qui sous-tend la présentation de l’ensemble de ces oeuvres.

Au Palais Delphinal, à Saint-Donat, les travaux de Laurent Grasso et Sylvia Bossu entrent en correspondance et évoquent, sur une base sensorielle, la propagation des sons du monde, dans un climat quelque peu paranoïaque ; à l’espace Visitation, à Romans, s’articule une vision poético-critique à partir du dispositif de Melik Ohanian et du paysage artificiel de Pierre Malphettes ; A l’espace François-Auguste Ducros, à Grignan, l’exposition génère une perte de repères physiques, par des environnements comme celui de Philippe Decrauzat, ainsi qu’une confrontation à la notion d’expérimentation, essentielle pour les artistes ; enfin, au Château de Suze-la-Rousse, s’établit un dialogue en reflet entre le bâtiment historique et les « espaces construits » des oeuvres.

C’est de façon tant physique que mentale que le visiteur est invité à appréhender la totalité de ce parcours.

ANN VERONICA JANSSENS

Née en 1956 à Folkestone, Grande-Bretagne.
Vit et travaille à Bruxelles.

"Ann Veronica Janssens développe depuis la fin des années 70 une œuvre expérimentale qui privilégie les installations in situ et l’emploi de matériaux volontairement très simples, voire pauvres (bois aggloméré, verre, béton) ou encore immatériels, comme la lumière, le son ou le brouillard artificiel. à travers des interventions dans l’espace urbain ou muséal, l’artiste explore la relation du corps à l’espace, en confrontant le visiteur (voire en l’immergeant) à des environnements ou dispositifs qui provoquent une expérience directe, physique, sensorielle, de l’architecture et du lieu, et qui renouvellent à chaque fois et pour chacun l’acte de perception. [...]

Cabinet en croissance (1991- 2006)

Cabinet (1991-2008)

"En 2006, le FNAC acquiert Cabinet (1991-2006), qui réunit sept prototypes réalisés entre 1991 et la date d’acquisition, soit sept projets qui sont des propositions, essais, tests miniaturisés et indiciels de travaux (réalisés ou non) de l’artiste. Il contient par exemple le Test pour le Théâtre National de Bruxelles qui lui permit de mettre au point son projet de perturbation ponctuelle du système d’éclairage du bâtiment. L’IAC, qui avait acquis Corps Noir en 1995, et souhaitant poursuivre sa collaboration avec l’artiste, obtient en dépôt Cabinet et le présente lors de l’exposition Collection(s)08 (2008) augmenté de trois prototypes. Il devient alors en croissance.[...]
Les prototypes du Cabinet sont tous à échelle domestique et livrent les expérimentations d’Ann Veronica Janssens.

Dans le cadre de cette exposition, sont présentés :

Lamelle PVC

Une lamelle de PVC est enroulée sur elle-même. Par ce procédé d’accumulation des couches, l’artiste est à la recherche de la couleur par la densité du matériau.

Sans titre (plinthe), 2008

Placé en biais contre un mur comme une plinthe, ce miroir perturbe la vision que le spectateur a de son corps et de l’espace.

Sans titre, 2008

Une feuille de gélatine rouge suspendue au plafond est éclairée par un spot. Légère, elle est soumise à un mouvement permanent, parfois indiciel ou tournoyant, ce qui engendre des variations de lumière rouge.
 

Spécialement pour cette exposition et dans le cadre d’un travail mené par Ann Veronica Janssens pour les vitraux de la Chapelle Saint-Vincent à Grignan, l’artiste ajoute de nouveaux prototypes à son Cabinet : huit éléments en verre coulé et verre phosphorescent, présentés ici comme des échantillons-tests".


PHILIPPE DECRAUZAT

Né en 1974 à Lausanne, Suisse.
Vit et travaille à Lausanne.

"Philippe Decrauzat développe un travail protéiforme. Qu’elles se présentent comme des tableaux, des peintures murales, des réalisations sur papier, des toiles mises en forme, des installations, des films ou encore des sculptures, ses œuvres ont toutes en commun une composition géométrique complexe.
La pratique de l’artiste s’ancre dans l’héritage de l’abstraction du XXe siècle et des recherches de distorsions visuelles menées par les artistes de l’Op art et de l’art cinétique dans les années 60. Si l’artiste est cependant en distance critique vis-à-vis de ce terrain familier, c’est par son inscription ouverte dans d’autres champs artistiques – design graphique, cinéma, architecture, musique – dont il s’inspire en permanence et dont il orchestre différentes intersections.
[...]"

Can I Crash Here (2005)
One two three four five (2005)





DELPHINE COINDET

Née en 1969 à Albertville, France.
Vit et travaille à Paris et à Lausanne.

"Dès le début de sa pratique artistique, qui conjugue peinture, sculpture et dessin, Delphine Coindet a choisi d’utiliser l’informatique, le dessin numérique et les logiciels de 3D pour concevoir ses projets, avant de les confier à des fabricants industriels.
Le travail de Delphine Coindet se caractérise par une élaboration très formelle associée à une dimension conceptuelle et une échelle environnementale. Si elle s’intéresse à la question de la représentation, c’est davantage sous un angle sémiologique, dans l’optique de produire des signes où les notions de valeur d’usage et de valeur décorative sont subtilement brouillées.
Son vocabulaire plastique est alors issu de sources très diverses : objets imaginaires ; éléments empruntés au monde réel (végétaux, minéraux), à la géométrie (cylindre, cône, sphère,…) ; formes abstraites ou figuratives issues de la publicité, de jeux vidéos ou encore de l’histoire de l’art
.
[...]"

 

Antimatière (2005)
1 x 1 x 1
Sans titre

 

INSTITUT 
D'ART CONTEMPORAIN
Villeurbanne / Rhône-Alpes
www.i-ac.eu

 

mercredi 15 août 2012

Exposition : Flashback, François Trézin

Du 16 avril au 19 juin 2011






"Le rapport entre les différentes séries de photographies que François Trézin présente à l’espace Ducros à Grignan peut, au premier abord, ne pas être perceptible et, en passant vite devant chacune d’entre elles [...]. Il n’est ni interdit, ni scandaleux de se poser des questions et en l’occurrence de se demander ce qui a bien pu conduire l’auteur de ces séries à rassembler et installer côte à côte des images prises dans des parcs de Shanghai à demi avalées par l’ombre avec d’autres représentant les intérieurs aixois et marseillais de ses deux grand-mères ainsi que les contenus de leurs tiroirs, ou bien des villas chinoises plus ou moins abandonnées dans lesquelles des dispositifs un peu bizarres occupent tout ou partie de l’espace, ou encore des arrangements végétaux singuliers au pied d’arbres plantés dans les rue de Sapporo au Japon, des espaces intérieurs et quelques pièces de mobilier dans le château de Grignan, des hauts parleurs déguisés en rochers, des natures mortes intrigantes dans une maison du Hubei, province chinoise sur le cours moyen du Yangtze. [...]" Patrick Talbot




"François Trézin est né en 1982 à Valréas, mais il s'en est fallu de peu pour qu'on dise qu'il soit né au château de Grignan où il passa neuf années de son enfance.
Après des études de graphisme à l'École Estienne à Paris, il
entre  à l'École des Beaux-Arts de Nantes puis à l'École Supérieure d'Arts de Cergy-Pontoise. Tout cela s'est vu entrecoupé d'une passion grandissante pour l'Asie et de nombreux voyages au Japon qui l'ont inévitablement inspiré dans son évolution personnelle et artistique.
C'est en vivant à Sapporo, au Japon, que tout s'est précisé. Il y a assisté de nombreux photographes et après deux années d’un travail infernal, il décide de s'envoler non loin de là, c'est-à-dire à Shanghai, en Chine.
Il vit à Shanghai depuis 2007 et y travaille en tant que photographe indépendant, photographiant des natures mortes et des intérieurs entre autres pour de grands magazines chinois (
ELLE décoration, ELLE Men, Life Magazine, Architectural Digest, The Outlook Magazine, Modern Weekly, Grazia, Femina, pour n'en citer que quelques uns).

En 2010 il remporte le premier prix du Photofolio Review au

festival de photo Caochangdi PhotoSpring à Pékin (en partenariat avec Les Rencontres d'Arles).
Son travail artistique a été présenté internationalement au travers de nombreuses expositions à la galerie d'art contemporain Angle à Saint-Paul-Trois-Châteaux, au château de Chaumont-sur-Loire, au Lieu Unique à Nantes, au Luxy, à Ivry-sur-Seine, au Japon chez Agra, à Shanghai au Zendai Museum Of Modern Art et à AM art space à deux
reprises, à Pékin à la galerie TS1 dans le quartier 798.





"Flashback" est un regard sur les six dernières années de recherches
personnelles, mettant en parallèle de manière plus ou moins directe des souvenirs et des moments ou lieux de son présent par le biais d'installations et de photographies."


  
Vernissage le vendredi 15 avril 2011 à 18h30


Une exposition proposée par la ville de Grignan.


Ville de Grignan
www.ville-grignan.fr



Exposition : Fruits de routes, Gérard Depralon

Du 20 novembre au 19 décembre 2010


Gérard Depralon

"Fruits de routes"

Résidence d'artiste, commande des Editions Linard, séjours d'octobre 2008 à août 2009.






Gérard Depralon vit à Uzès et enseigne à l’école des Beaux-Arts de Nîmes. Il est l’auteur de «reportages dessinés » : une manière de BD proposant un état des lieux des territoires, hors des sentiers battus et de l’imagerie touristique.
L’exposition «Fruits de routes» retrace le parcours de l’artiste en Drôme provençale, de Pierrelatte à Saint-Pantaléon-les-Vignes.
Les planches exposées ont fait l’objet d’une édition particulière en digigraphie (doubles pages couleurs tirées à 30 exemplaires) aux éditions Eric Linard.


Reportages dessinés

Il s’agit de rendre compte d’un parcours instinctif dans un paysage donné. La mine de plomb fixe les observations, les impressions, sans hiérarchie de valeur, décrivant un état des lieux a un moment donné, mémoire partielle de territoires toujours en évolution.




Digigraphie

Les planches de l’album Fruits de Routes ont fait l’objet d’une édition particulière en digigraphie (doubles pages couleurs tirées à 30 exemplaires) aux éditions Eric Linard, de même que celles de l’album On vit le pays qu’on voit et certains dessins de la série Ainsi est-il tirés parfois en grand format (92,5x105).

Vernissage le 20 novembre 2010 à 11h30


Une exposition proposée par l'association Main forte, Eric Linard Editions et la ville de Grignan.


Fruits de routes
Album Couleur
72 pages. 33x23,5
en vente chez l’éditeur



Éric Linard Galerie
Le Val des Nymphes
26700 La Garde -Adhémar
www.ericlinardeditions.com 

Ville de Grignan
www.ville-grignan.fr

Exposition : Tutto Nudo, Jean-Christophe Schmitt, Gérard Sighicelli

DU 5 SEPTEMBRE AU 31 OCTOBRE 2010







Jean-Christophe Schmitt 

(1956. Né à Tananarive, Madagascar. Vit et travaille dans le Vaucluse)

"Homme singulier, peintre poète, Jean-Christophe Schmitt nous donne à voir une peinture touchante, d’un calme conquis, libérée de tout conformisme, où bonheur et gravité s’interrogent mutuellement.
Une peinture que l’on peut qualifier d’intimiste, mais dont l’évidente poésie, si elle s’attache à la douce sensualité des êtres et des choses, n’en véhicule pas moins comme un dérangement, un désordre primaire, une ligne de perturbation abstraite nécessaire à l’émergence d’une intériorité maîtrisée [...]" Xavier Culty




Après un bac scientifique en 1974 puis une licence de psychologie (mémoire de psychologie clinique consacré à Vincent Van Gogh), il entre en 1977 aux Beaux-Arts de Lyon dont il s’évade rapidement, non sans emmener avec lui celle qui sera dorénavant sa compagne.
Ses premiers travaux en peinture seront suivis par les peintres Jacques Poncet et Jacques Truphémus et il rencontrera, lors de son installation dans le midi, Philippe Jaccottet puis René Char.
De 1978 à 1984, il collabore régulièrement à la revue « Les Cahiers Bleus », dirigée par Dominique Daguet à Troyes, et publie en 1985 les recueils « Premier Séjour » et « Le Lys ou la Tourmente », illustrés de dessins à l’encre. Avec Roger Planchon, au T.N.P de Villeurbanne, il approche aussi le théâtre comme « comédien » et décorateur.
Il sera un temps instituteur mais choisira finalement de connaître une période de vaches maigres avant de trouver du côté des postes françaises, un emploi qui le laisse plus libre dans l’exercice de l’écriture et de la peinture surtout, puisque c’est à elle, semble-t-il, qu’il se consacre essentiellement désormais.


Gérard Sighicelli 

(1939 - décédé à Rousset-les-Vignes en 2011)

"La peinture de Gérard Sighicelli laisse transparaître une préoccupation constante à l’endroit des paysages. Plus précisément des paysages de cette Drôme provençale qu’il parcourt sans relâche depuis son installation à Rousset-les-Vignes en 1964.
Des territoires à peindre : une réalité terriblement complexe et insaisissable, s’offrant à toutes sortes d’explorations picturales tactiles, sensuelles, dans une sorte d’abandon et de quête permanente du dépouillement, qui conduit à l’essentiel, au-delà des formes et des apparences, plus nu que nu, à ces paysages intérieurs qui l’habitent, aux frontières du visible et de l’invisible." Jean-Pierre Couren.






"Ce qui rend à mes yeux la peinture plus magique, c’est précisément au moment où ce qui est représenté ne suggère plus d’image. C’est-à-dire quand ce qui est visible dévoile une qualité au-delà de ce qui est vu". (Extrait de « Traité du paysage » de Gérard Sighicelli)


Gérard Sighicelli, né à Lyon en 1939, entre à l’atelier de Paul Berton en 1961. Il apprend la peinture et réalise beaucoup de portraits, de nus ainsi que des natures mortes dans lesquelles transparait l’influence de Giorgio Morandi. Sa première exposition à lieu en 1962 à Paris.
En 1964, Gérard Sighicelli quitte la capitale. C’est ici, en Drôme provençale, qu’il découvre ces paysages irradiés par la lumière du sud. Il peint désormais ce qui l’entoure : les collines de Rousset-les-Vignes sont représentées dans un style très dépouillé qui glisse parfois vers l’abstraction. Ce désir de simplification devient désormais permanent dans sa peinture. C’est l’essence de la forme et de la lumière qui subsiste.
Après un séjour aux Etats-Unis (1969-1971), il retrouve le village de Rousset-les-Vignes où il habitera jusuq'à la fin de ses jours. Artiste polymorphe, il crée aussi des sculptures et des objets d’arts (surtout des miroirs). Il a exposé de nombreuses fois dans la région, en France et à l’étranger (Etats-Unis, Hollande, Suisse...)




Pour l’exposition "Tutto Nudo" à l’espace Ducros de Grignan, il présente une série de nus de l’année 1993. L’artiste emploie souvent des techniques mixtes (collage, peinture, imprimés…), réalisant ainsi un subtil travail de la matière.

L’espace Ducros accueille ses peintures accompagnées de celles de son ami, l’artiste Jean-Christophe Schmitt.


Vernissage le samedi 4 septembre 2010 à 18h.


Une exposition proposée par la commission culture de la ville de Grignan.

Ville de Grignan
www.ville-grignan.fr

Exposition : Multi-commedia

DU 27 JUIN AU 29 AOUT 2010


INSTITUT 

D'ART CONTEMPORAIN

La collection en Rhône-Alpes


Eduardo Arroyon, Armand Avril, Olaf Breuning, François Curlet, Philippe Mayaux, Yan-Pei Ming, Liliana Moro, Alain Séchas, Daniel Schlier, Fabien Verschaere, Carmelo Zagari.





En lien avec la thématique de la 15e édition du festival de la correspondance, sur le théâtre. 





"Chacun à leur manière, les artistes convoquent des personnages – héros ou anti-héros, plus ou moins comiques ou tragiques – qu’ils mettent en scène pour générer un récit."





Vernissage le samedi 26 juin 2010 à 18h.

 
INSTITUT 
D'ART CONTEMPORAIN
Villeurbanne / Rhône-Alpes
www.i-ac.eu

dimanche 12 août 2012

Exposition : Le robinet est ouvert, Philippe Guérin

Du 9 mai au 20 juin 2010


Philippe Guérin

 






"L’artiste qui expose à l’Espace François-Auguste Ducros est le Médiateur engagé depuis deux ans par l’association "Les enfants du Facteur"
Il a 45 ans. La première fois que son travail est montré, après sa sortie en 1996 de l’Ecole des Beaux-Arts de Valence, fut en 2009, dans le cadre de la manifestation « supervues » à l’hôtel Burrhus de Vaison-la-Romaine.
Jusqu’à l’âge de 24 ans, rien  ne l’avait mis sur le chemin de la création. Ses études de lycéen l’avaient orienté vers une formation de plombier qui cependant restait accompagnée d’un grand intérêt pour la bande dessinée et sa pratique. [...]

Ce qui est montré dans cette exposition est la présentation d’anciens travaux et de quelques-uns plus récents. Les deux années passées dans l’Espace Ducros puis le projet d’exposer son travail ont réenclenché la machine de l’imaginaire et le désir de s’y mettre.  
 



A l'occasion de son travail au sein de l’association, Philippe Guérin s’est révélé comme un connaisseur d’art mais aussi comme un collectionneur qui a eu une  intuition juste sur ses choix. Il a non seulement « un œil » mais il est doué de l’expression  « du trait ».   

Son dessin est exercé avec force et affirmation, sa « maladresse » fait style au même titre que le choix des matériaux volontairement banals et sans noblesse. [...]

« Le robinet est ouvert » interroge souterrainement la valeur de l’argent et la valeur de l’œuvre, leur vanité réciproque et l’importance accordée à leur surévaluation dans notre monde actuel. [...]



 
Claudio le « Plombier zingueur »  directeur des éditions « Pb et Zn », qui travaille à l’étage inférieur de l’Espace Ducros à la bibliothèque, a réalisé une petite plaquette à l’occasion de cette l’exposition : le  texte écrit il y a quelques années est aussi illustré  par Philippe Guérin."

Les enfants du Facteur

Vernissage le samedi 8 mai 2010 à 18h.


Rencontre avec l'artiste : vendredi 4 juin 2010 à 18h30 à l'espace Ducros.


Une exposition organisée par l'association Les enfants du Facteur, avec le soutien de la ville de Grignan et du Conseil général de la Drôme.


Les enfants du Facteur
les-enfants-du-facteur@orange.fr
http://espaceducrosorangefr.centerblog.net/